Sous l'influence des mains, l'argile se laisse transformer, impressionner et façonner, et l'œuvre résultante conserve toute l'énergie, prend forme et la préserve au fil du temps une fois cuite.

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Lorsque nous moulerons l'argile de nos propres mains, notre instinct primitif surgira, et lorsque nous l'émaillerons et la cuirons, la rationalité entrera en jeu. C'est à ce moment que la pratique et la théorie se fondent parfaitement en une seule expérience. C'est un processus alchimique où l'intuition, la technique et la poésie, combinées aux éléments de la terre, de l'air, de l'eau et du feu, subissent le processus créatif.

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L'ouverture du four est un moment magique qui récompense nos efforts ; c'est le feu qui juge l'œuvre, et notre capacité à évaluer les résultats, y compris les erreurs éventuelles, détermine le succès, nous propulsant dans un voyage d'exploration continue.